“L'immobilier géolocalisé efficace”

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Poussée de fièvre sur l'indice du coût de la construction
posté par Webmaster  le 08/04/05 - 33 commentaires

L\'INSEE vient de publier son indice trimestriel du coût de la construction qui indique aux bailleurs la hausse maximale qu\'ils peuvent apppliquer à leurs loyers. Après +4,53 % au T3 2004, l\'indice poursuit son ascension à +4,81 % au T4 2004. L\'indice s\'exprime en moyenne lissée sur les 4 derniers trimestres et prend en compte la forte hausse de l\'indice au T2 et T3 2004, puis une stabilisation au T4. Nul doute que cet indicateur va augmenter la mobilité locative, en rapprochant les loyers historiques, obtenus il y a quelques années, des loyers de marché (plutôt atones à Paris). Cette hausse peut également à nouveau ouvrir le débat achat-location pour certains des locataires. (<a href=\"http://fr.biz.yahoo.com/050408/202/4cr0x.html\" target=\"_blank\">Indice du coût de la construction : hausse de +4,81% au 4e trimestre 2004 - AFP</a>)

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Tentative de mise en graphique
posté par CHRAIPALDERNIERCON  le 07/04/05 - 3 commentaires

Tentative de mettre sous forme graphique les données "prix au m2" de www.pap.fr. Si les calculs sont justes... ça promet !

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Le risque d'éclatement de la bulle immobilière semble s'éloigner
posté par Alex  le 07/04/05 - 3 commentaires

Selon les dernières études de la Fnaim et du Crédit Foncier, la hausse des prix de l'immobilier ancien est en phase de décélération progressive. L'activité reste néanmoins très soutenue, stimulée notamment par la faiblesse des taux d'intérêts et par la mise en place en février dernier du prêt à taux zéro.

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Observatoire FNAIM T1 2005 : poursuite de la hausse, mais contrepartie sur les volumes en Ile de France
posté par Webmaster  le 07/04/05 - 91 commentaires

Avec un trimestre d\'avance sur la récente étude des Notaires (qui portait elle sur le T4 2004), la FNAIM vient de publier son observatoire sur le marché immobilier en France au 1er trimestre 2004. La hausse des prix est toujours de mise, avec une hausse de 13,4 % france entière. A Paris la hausse est de 12,1 % sur un an, qui porte le prix moyen des ventes à 5274 € du m2 (soit 34500 F) et à 3377 € du m2 en Ile de France (incluant Paris). Ce qui est nouveau, c\'est la franche décélération des volumes observée en Ile de France au premier trimestre, puisqu\'elle atteint -7% pour les appartements et -10,9 % pour les maisons, alors que les volumes sont en légère hausse au niveau français. La hausse des prix s\'observe également toujours dans toutes les grandes villes de France, avec des pointes à plus de 20 % sur les grandes villes de la côte atlantique. Les portefeuilles des agences se regarnissent : leur niveau est de plus de 30 % supérieur à 2004. La solvabilité des ménages s\'améliore au T1 pour retrouver son niveau du 2ème trimestre 2004 du fait de l\'introduction du nouveau PTZ (prêt à taux zéro) qui vient resolvabiliser les jeunes ménages primo-accédants. 12000 PTZ ont ainsi été conclus au 1er trimestre France entière (le PTZ intervient dans 20 % des acquisitions dans l\'ancien en Ile de france et 27 % en Province). Selon la FNAIM, la hausse de 88 % des prix entre 1999 et 2005 est compensée par l\'amélioration des revenus des ménages et la baisse du coût du crédit. Par conséquent le marché n\'est pas en situation de bulle. La décélération de la hausse annuelle des prix (de 17,5% au T3 2004 à 13,4% au T1 2005) augure d\'un ralentissement en douceur. (<a href=\"http://www.fnaim.fr/actu/lettre_conj/2005_04_obs.pdf\" target=\"_blank\">Observatoire FNAIM - T1 2005</a>)

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Etude comparative par la société générale sur le financement de l'immobilier dans l'Union Européenne
posté par Webmaster  le 06/04/05 - 0 commentaire

Dans son \"Analyse mensuelle de la situation economique\", la société générale livre toute une série d\'indicateurs permettant de mieux cerner les marchés immobiliers européens. Après une analyse de l\'atterissage en douceur de l\'immobilier Anglais (P.12), elle se livre à une comparaison par pays des marchés locaux (P.20 à 22). Pour chacun d\'eux (Allemagne, France, Italie, Espagne, Pays Bas, Belgique, Autriche, Finlande, Portugal, Irlande, Grèce) sont fournies les données suivantes : taux de propriétaires, types de prêt souscrits, incitations fiscales, durée type des prêts et part du prêt dans le financement, ainsi que l\'endettement des ménages et l\'évolution des prix sur les 1à dernières années. On y apprend que les prix connaissent une hausse soutenue dans quasiment tous ces pays, hors Allemagne et Autriche, pour lesquels ils baissent. Le dossier aborde égalememnt la probabilité pour les banques centrales de remonter leurs taux, ce qui pénaliseraient le marché immobilier : les analystes prévoient un début de remontée des taux de la BCE à la fin 2005 de 0,25 % à 2,25% contre une augmentation parallèle des taux de la Fed américaine à plus de 4 %. (<a href=\"http://groupe.socgen.com/html/eco/FR/tele/eco_f.pdf\" target=\"_blank\">Analyse économique - Société Générale</a>)

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Coup de froid dans le 18ème arrondissement
posté par Webmaster  le 06/04/05 - 1 commentaire

Depuis la rentrée, le marché change dans le 18ème arrondissement : alors que les prix caracolaient à plus de 20 % de hausse avant la rentrée, ils ont tendance à se stabiliser car les prétentions des vendeurs ne sont plus en phase avec les budgets des acquéreurs. Le résultat est une baisse du nombre de ventes réalisées, et une situation moins tendue chez les acheteurs, qui se concentrent sur les meilleurs biens et prennent plus leur temps. Le phénomène est plus marqué dans le \"bon\" 18ème (Montmartre, Mairie et autour) que dans les quartiers plus populaires (Marx Dormoy). Alors que les vendeurs ont souvent en tête les 6000 € du m2, les ventes se réalisent à des montants plus modestes : de 3300 à 4300 € du m2 dans la quartier MArx Dormoy, les prix montent à 5000 € du m2 près de la Mairie et atteignent 5500 à 6500 € du m2 en moyenne à Montmartre. Des exemples de ventes sont fournies dans l\'article. (<a href=\"http://www.lefigaro.fr/immobilier/20050405.FIG0398.html\" target=\"_blank\">Le XVIIIe : un arrondissement toujours demandé - Le Figaro</a>)

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La b'tite bête qui monte qui monte!
posté par bichette le 06/04/05 - 0 commentaire

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Pourquoi l'immobilier va baisser
posté par gandalf_barbones le 06/04/05 - 7 commentaires

Coucou! Je me permets de faire un peu de pub pour l'article que je viens tout juste de mettre en ligne sur mon site perso. Bonne lecture

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Rapport des Notaires de Paris : +14,2 % à 4587 € du m2 au T4 2004
posté par Webmaster  le 06/04/05 - 63 commentaires

Les notaires viennent de confirmer dans leur rapport du 4ème trimestre 2004 sur l\'immobilier francilien l\'excellente fin d\'année qu\'a connu la pierre parisienne : les prix sont en hausse de 14,2 % sur un an toujours en progression (bien que ralentie par rapport au T3) de 2,4 % sur le 4ème trimestre 2004 par rapport au 3ème. Les volumes sont également restés étoffés : sur un an par rapport à 2003, ils sont en hausse de 5,1 % et de 1,4 % en comparant le 4ème trimestre au même trimestre de l\'année 2003 dans Paris intra-muros. La flambée des arrondissements de l\'Est parisien se poursuit avec les 10ème, 18ème, 19ème et 20ème tous au dessus de 17 % de hausse sur l\'année pour finir entre 3500 et 4000 € du m2. L\'ouest bourgeois du 8ème et du 16ème arrondissement progresse moins avec moins de 10 % de hausse sur l\'année, à tout de même respectivement 5844 € et 5425 € du m2 en moyenne. La flambée se poursuit entre 10 et 16 % pour tous les autres arrondissements. Les Notaires démontrent par des assertions chiffrées que malgré la vitalité du marché, un scénario comme en 1991 est à exclure (voir section \"éléments d\'analyse du marché\") : la hausse est avant tout dûe à la vigueur de la demande, à la faiblesse des taux, à l\'encouragement fiscal des investisseurs, à la construction en Ile de France insuffisante pour faire face aux besoins (contrairement au reste de la France) dans un contexte où le niveau d\'endettement des ménages reste faible et les acteurs peu spéculatifs. (<a href=\"http://www.paris.notaires.fr/hpr.php?cID=295\" target=\"_blank\">Rapport des Notaires T4 2004</a>)

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FNAIM : marché immobilier en mars 2005
posté par Georges le 05/04/05 - 2 commentaires

Peu d'intérêt car inexploitable en l'état.

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Ventes à la bougie : de vraies opportunités ?
posté par Webmaster  le 05/04/05 - 357 commentaires

Longtemps restées des rendez-vous de professionnels, les ventes aux enchères des tribunaux ou des Notaires de Paris attirent de plus en plus de particuliers désireux de faire de bonnes affaires. Les prix de départ sont souvent bas (20 % du prix estimé) et certaines de ces ventes ont pu être emportées à prix cassés à la fin des années 1990 par rapport au marché de l\'époque. C\'est ainsi qu\'est née la réputation de \"bonnes affaires\" qui attire tant de particuliers, dans un contexte où trouver un bien à prix compatible avec son budget devient de plus en plus difficile. Malheureusement, ces ventes sont désormais victimes de leur succès, et les vraies affaires se font rares. Les biens partent même parfois au dessus de leur prix de marché, tant l\'engouement est fort et l\'emportement facile dans ces ventes sous pression. A la barre du Tribunal d\'instance de Paris, un appartement du Nord du 15ème arrondissement, pourtant à rénover, est parti à plus de 7000 € du m2 suite à une première vente, qui a elle-même fait l\'objet d\'une surenchère à 8000 € du m2, alors que les ventes à ce prix sont quasi inexistantes dans le quartier. Les ventes réalisées par les <a href=\"http://www.encheres-paris.com/\" target=\"_blank\">Notaires de Paris</a> (souvent des ventes de collectivités locales, associations ou particuliers) semblent plus raisonnables, au plus près du marché. L\'acquéreur doit dans tous les cas être très vigilant sur la qualité de l\'immeuble ainsi que son état d\'occupation car certaines ventes réservent des surprises. D\'autre part, au prix d\'adjudication, il faut ajouter les frais de vente, qui s\'élèvent à environ 10 %. En résumé, ce type de vente a plutôt tendance à amplifier à la hausse comme à la baisse les tendances du marché : prix hauts, voire plus hauts que le marché réel dans un marché tendu, et bonnes affaires à prix cassés quand le marché est en baisse. (<a href=\"http://www.lefigaro.fr/votreargent/20050401.FIG0346.html\" target=\"_blank\">Ventes à la bougie: prudence ! - Le Figaro</a>)

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En direct du salon de l'immobilier
posté par gandalf_barbones le 02/04/05 - 5 commentaires

c'est éloquent!!!!!
la suite ici:
http://www.boursorama.com/forum/message.phtml?page=1&id_message=335676525

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Average Manhattan apartment: $1.21M
posté par Teilhard le 01/04/05 - 0 commentaire

Ca continue de flamber.
Apartment sale prices hit new record in 1Q as supply shrinks; up 26% from a year earlier.

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Nouveau site sur le marché immobilier par le Crédit Foncier
posté par Webmaster  le 01/04/05 - 42 commentaires

Plus de 120 experts ont contribué à construire un site très complet dédié au marché de l\'immobilier. Au delà d\'une synthèse globale du marché, il donne gratuitement accès à une image du marché résidentiel et des bureaux dans environ 100 villes françaises. L\'accès se fait par région avec pour chacune d\'elles les grandes caractérisitiques économiques et démographiques. Un zoom est ensuite disponible pour les grandes villes de la région. Pour Paris, le marché est détaillé par arrondissement et précise les prix au m2 courants dans chacun des quartiers qui les composent. La vision de l\'évolution du marché résidentiel du Crédit Foncier est présentée dans la synthèse globale : les signes d\'accalmie sont nombreux et la hausse des prix devrait se ralentir, sans pour autant qu\'un retournement brutal n\'intervienne. A consulter pour la précision des informations sur un large panel de villes. (<a href=\"http://www.marche-immo.com/\" target=\"_blank\">Accès au site marche-immo</a>)

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DES PRETS A 50 ANS
posté par Casimir  le 31/03/05 - 8 commentaires

Le marche du credit devient de plus en plus sophistique donc rien d'etonnant a ce qu'on pense a allonger la duree des credits

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Poursuite du plongeon des prix en GB
posté par Alex  le 31/03/05 - 5 commentaires

D'après Nationwide, les prix ont poursuivi leur chute en Mars à -0,6 % (corrigé CVS), la plus forte chute mensuelle depuis 1995 ce qui porte la hausse (oui, la hausse) à 7,9 % annuel contre 10,2 % en février.

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Logement et vieillissement de la population : les conséquences sur l'offre et la demande
posté par Webmaster  le 31/03/05 - 2 commentaires

Dans une étude publiée à l\'occasion du Salon de l\'immobilier à Paris, l\'Institut d\'urbanisme de Paris a cherché à comprendre la relation qu\'entretiennent les seniors avec l\'immobilier. L\'étude indique ainsi que 70 % des 60 ans et plus sont propriétaires contre 54,7 % de l\'ensemble des ménages. Ils sont 47 % des jeunes retraités à déménager pour leur retraite, généralement sans avoir besoin de s\'endetter (1/3 seulement empruntent), et emménagent plus volontiers que leurs cadets en maison neuve (12 % des achats de sexagénaires contre 7 % des 54-59 ans). Après 75 ans, c\'est la location qui prend le pas sur l\'achat, puisqu\'elle représente alors 2/3 des emménagements; ces emménagements se font plutôt en appartement en milieu urbain (hors région parisienne), du fait des besoins de proximité spécifiques de cette clientèle plus agée. Côté offre, en région parisienne, les retraités constituent la première CSP de vendeurs avec 21,5 % des ventes. Pour les locations également, les retraités se taillent la part du lion parmi les propriétaires, puisqu\'ils possédaient, à la fin des années 90, la majorité des logements locatifs privés du marché avec 2,6 logements en moyenne par bailleur. (<a href=\"http://www.seniorscopie.com/actu/article.asp?id=050329222425&rub=eco\" target=\"_blank\">Le vieillissement de la population bouleverse le marché du logement</a>)

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Adieu la langue de bois chez les banquiers !
posté par Jack le 29/03/05 - 5 commentaires

Où un salarié (faisant autorité) d'une grande banque Française donne son avis sur le marché immobilier actuel (sans langue de bois).

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L'INSEE ne voit pas de bulle spéculative sur l'immobilier
posté par Webmaster  le 25/03/05 - 60 commentaires

Sur la base de deux modèles d\'étude, l\'INSEE affirme dans rapport publié le 25/03 que le marché immobilier n\'est pas en situation de bulle en France. Le premier modèle permet d\'analyser la prime de risque sur l\'immobilier, en comparaison des actifs financiers. Le second modèle s\'appuie sur l\'analyse des fondamentaux qui influent sur l\'offre et la demande. Dans le premier cas, la prime de risque calculée aujourd\'hui est très loin de son niveau de 1990, en particulier du fait du niveau des loyers qui ont suivi la hausse des prix. Dans le secon cas, la valeur des logements ne s\'écarte pas sensiblement de du prix qui équilibre la demande. Le rapport met tout de même le lecteur en garde sur la fragilité des données disponibles et des hypothèses retenues. (<a href=\"http://www.insee.fr/fr/indicateur/analys_conj/archives/mars2005_d3.pdf\" target=\"_blank\">Marché immobilier : voit-on une bulle ? INSEE Mars 2005</a>)

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Studio au deux pièces...
posté par OBER le 23/03/05 - 10 commentaires

Des avis qui confirment des évolutions dans le marché immobilier parisien...

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