Je m'en remets à votre sagacité.

ça va nous éclater à la tronche

Fnaim ''octobre'' avec les commentaires du mois d'aout.. super le professionnalisme de la Fnaim !

Il y définitivement plein de choses sur la page de Friggit
http://www.foncier.org/statistiques/accueil_statistiques.htm
On y voit que parmi les acheteurs étrangers la moitié sont résidents en France et ont en général le même profil que les français résidents.

Et surtout que les non-résident n'achètent pas tant que ça à paris, cf. carte 1. Bref, cette histoire de riches étrangers qui font monter les prix à paris et du fantasme pur.

Ce qui me fait penser que pour acheter aujourd'hui à Paris il faut avoir soit le coeur bien accroché soit un portefeuille bien garni.

Les chiffres que nous annoncent les Notaires, relayés par toutes la presse aujourd'hui, datent non pas de cet été comme ils le prétendent mais de transactions conclues au printemps !!!
Donc quand ils disent que ça n'a pas baissé cet été et que leurs chiffres sont en contradiction avec les chiffres de la FNAIM, c'est faux.
Et bien entendu, les journalistes qui ne voient jamais plus loin que le bout de leur nez sont incapables de contredire ces Notaires.

Comme le prouve le paragraphe ci-après, il est indispensable de dire qu'il y a plus de 6 mois de décalage entre les chiffres FNAIM et ceux des Notaires...
C'est lors de la promesse de vente (indice FNAIM) qu'est figé le prix et non lors de la vente (indice Notaires).
Les analyses des courbes depuis des années ont prouvé que les prix FNAIM et les prix Notaires sont parfaitement en phase, décalée d'au moins 6 mois.

"Les notaires collectent les données à partir de l’acte de vente qui intervient en moyenne 100 jours après la promesse de vente. Ils en publient les résultats 3 mois plus tard. La Fnaim relève directement les données de cette promesse et en publie les résultats les premiers jours du mois suivant. Les indices publiés au même moment par ces deux institutions portent donc sur des transactions dont la date est décalée de plus de 6 mois (2). En outre, le traitement statistique utilisé repose sur le calcul de la moyenne des prix pour les agents immobiliers et sur l’application de la méthode hédoniste (3) pour les notaires. Celle-ci a pour avantage d’éliminer les erreurs provenant, notamment, des remises à neuf. Si l’indice publié par les notaires s’avère ainsi beaucoup plus fiable, celui de la Fnaim apparaît plus réactif. Mais il est peu probable que le vœu des sénateurs de faire travailler ensemble ces deux organisations pour mettre en place un indice indiscuté, soit un jour réalisé."

Et que les gens ne disent pas que j'ai retourné ma veste, je disais exactement la même chose quand ça montait... je m'appuyais sur l'indice FNAIM voire Seloger pour prouver que les chiffres Notaires étaient loin du compte... mais aujourd'hui la réciproque est vraie.

on vient au secours des uns,
on les rachète ...

ça devrait clore le débat sur les fameux 6 mois de retard des chiffres des notaires sur l'état réel de l'immo. J'aime bien le concept de méthode "hédoniste" utilisée par les notaires. Mon point de vue est que les données devraient être publiques et devraient pouvoir être analysées par des analystes et économistes indépendant. Christine , réveille toi et dépêche toi de nous faire passer une loi sur le sujet, avant qu'un million de français se plaignent de s'être fait entubés.

aux c'est les US, ça ne peut pas nous arriver, vous avez observé la prise de participation du CA dans une banque espagnol ces derniers temps ?
Chez nous le mal viendra de l'espagne, je prend les paris !

L'analyse de Kurt confirme ce que je disais, la légère hausse de novembre de l'indice FNAIM n'est qu'un rebond technique, comme on dit en bourse.
Les baisses des mois précédents avaient été paradoxalement trop fortes pour durer, il fallait une petite pause dans la baisse pour équilibrer tout ça...
La baisse généralisée à moyen et long terme est toujours bien enclenchée.

Ok, c'est en anglais, mais pour ceux qui n'ont pas encore compris, on assiste à la fin du monde tel qu'on l'a connu depuis 10 ans sur l'alimentation des crédits en tout genre.
Impact sur l'immo Parisien: nul bien en entendu, ça ne peut pas nous arriver !

atchoum !

La vie est dure ces temps-ci, mais j'ai bon ami avec qui il y encore de bonnes affaires à faire sur la marché immobilier.

8éme mois de baisse consécutive... euhh de hausse pardon... bouhhhh....!!!

Ca va mal aux States.

Certains disaient pourtant que l'immobilier ne pouvait pas baisser...

Question orale sans débat n° 0094S de M. Joël Bourdin (Eure - UMP) sur le site du Sénat.fr

* publiée dans le JO Sénat du 01/11/2007 - page 1965

M. Joël Bourdin attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'emploi sur le problème de la transparence du marché immobilier, en raison, d’une part, des divergences existant entre les indices des prix de l’ancien et, d’autre part, de l’inexistence d’un indice des prix du neuf.

En effet, la question des prix immobiliers est cruciale, tant au niveau individuel, pour les acquéreurs privés et publics, qu’à l’échelle macroéconomique, pour déterminer s’il existe ou non une « bulle spéculative ».

En conséquence, il lui demande pourquoi les sources fiscales et foncières ne sont pas mieux exploitées et quelles mesures elle entendrait prendre, le cas échéant, pour inciter à une harmonisation entre les indices existants, qui sont de source privée. Il souhaiterait également connaître le bilan de l’application de l’article 21 de la loi n° 2006-872 du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement, relatif à la transmission des données foncières aux collectivités locales, établissements publics et services de l’État qui en feraient la demande.

Pour répondre à Malard ...

DE chasseur pour les Acheteurs Steph devient chasseur pour les vendeurs!!!!

les baissiers sont des billes